Durant quelques années à l’EPEP avec notre public fragilisé d’élèves, ce projet m’apparait comme une « solution », un outil pour rendre la tâche plus aisée. Le peu d’élèves « prêts » à être inscrits au CEB et le taux élevé d’échecs en mathématique, en particulier lors des pré-tests CEB organisés dans notre école, ou le nombre d’élèves qui terminent leurs études à notre école et poursuivent des études dans des écoles ordinaires professionnelles et reviennent vers nous pour les aider, car ils rencontrent énormément des difficultés en mathématiques au point d’abandonnée. Tout cela nous conforte dans cette idée de remédiation et de préparation à la pré-école de notre public.